Les victimes du terrorisme montent au créneau - La Nouvelle République -
LES VICTIMES DU TERRORISME DONT LE PRÉSIDENT DE L’ASSOCIATION DÛMENT AGRÉÉE AU NIVEAU DE LA WILAYA DE MASCARA, DJENIAH HOUARI, ACTIVANT SOUS L’AILE DE MME RADIA BENDAHOU, UNE ORGANISATION INDÉPENDANTE, QUI RAPPELONS-LE, AMBITIONNE UNE VÉRITABLE DÉFENSE DES INTÉRÊTS MORAUX ET MATÉRIELS DE CETTE FRANGE DE LA SOCIÉTÉ, REVENDIQUENT UN STATUT.
Djeniah Houari, un richissime et représentant des familles victimes du terrorisme, dira au cours de cette délicate affaire dont la wilaya de Mascara a connu des massacres de civils que «la promulgation d’un statut particulier des victimes du terrorisme de la décennie noire est nécessaire, et dont les dispositions doivent être analogues à celui des martyrs de la Révolution, ce qui immunisera les familles victimes du terrorisme des manipulations politico-politiciennes. La révision à la hausse des pensions des familles victimes civiles du terrorisme.» Dans le contexte de cette prise de position pacifique du porte-parole des familles victimes du terrorisme, qui protestent à sa manière sur les conditions de vie de cette catégorie de la société qui, avouons- le, demeure des plus démesurés. D’autre part, la situation des familles victimes du terrorisme, dont le porte parole, Djeniah-Houari, qui pourtant est structuré dans une association dûment accréditée, a relaté d’une manière générale les difficultés des victimes, a l’exemple des pensions et logements n’ont été pris en charge. Outre, le statut revendiqué par le président de cette association, la doléance s’articule autour de la révision des indemnités sur les décès et dont le montant demandé pivote autour de 180 millions de centimes, en plus d’un salaire mensuelle qui frôle les 34 000 DA/mois. Pas question dans ce contexte déplorable des familles victimes du terrorisme qui vivent le martyre depuis des années, en plus confrontées aux problèmes administratifs, et ce, en l’absence d’une prise en charge réfléchie, de croiser les bras devant tant d’arbitraire. Il est important dans cette affaire qui revient sous les feux de rampe que les familles victimes du terrorisme dans la wilaya de Mascara d’investir la rue ou de trottiner vers la chefferie du gouvernement : «Nous exigeons sereinement que nos doléances soient prises en considération par les responsables qui sont autour de la table des décisions pour mettre fin à ces dérives qui n’honorent aucunement les années de sang et de feu où des milliers ont perdu les êtres les plus chers», dira Djeniah Houari. C’est assez pour corriger bien les idées reçues sur la situation désastreuse des familles qui ont enduré les affres du terrorisme, dont certaines associations ont marchandé le sang des victimes à des fins alimentaires.
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